domingo, 27 de abril de 2008

el evento estuvo a la altura de las circunstancias e, incluso, por encima. un gusto arrejuntarse casi todos. cada vez es más dificil. pero merece la pena.

para tranquilizar a la primera dama, le transmito el parte de altercados: sólo se golpeo a un chico en la cara y se peleó, cuan inquilino de papagayo, por un taxi, vía ocupación directa y descalificaciones.

la abuela estuvo creativa, pero por lo arcaico: sólo tradición oral. la neurona no retuvo, pero fue-como siempre-brillante, apoteósico.

aviso: la esquizofrenia ha llegado. es un hecho y tiene muchos frentes abiertos. tiemble espanya. para muestra: http://www.fotolog.com/elsenyorm

[cher: belive.]

la abuela tóxica/ the toxic grand mother

grand mother two points, we are deceive but you are not responsible at all. and we know it. best wishes but not bitches, nor beaches.because your dignity. I'll never surrender my values.

the grand mother said "I'm taking a limoncello in our little glass and you know it. this means elegance."

we are that we throw it. I can believe it beacuase you are inspiration.lost & found. divine but human. not proud but and example to follow forever.don't surrender, drink.

I need to belong to the club. And I'm good enough to be included right now.
The silence sometimes is necessary, but sometimes you must broke it with a shout from your soul.
Keep on walking into the wild is not the way, but we do it. and we like it.

[resistiré, el dúo dinámico.]

jueves, 24 de abril de 2008

les dimanche du couscous


este extracto está sacado del libro de la imagen. se supone que es un libro infantil y juvenil, pero es estupendo. muy tierno. reconfortante.
no lo traduzco entero porque no tengo tiempo, pero es uno de mis pasajes favoritos. especialmente cuando dice que los días en que se cambian los 'nunca' por las 'primera vez' son particularmente bueno y cuando describe la comida.

(chers cousins, enfin du Français!!)

le dimanche du couscous:
je n’ai jamais été au restaurant de ma vie.je ne suis jamais sorti le dimanche. je n’ai jamais mangé de couscous. ma grand-mère n’a pas quitté l’appartement depuis que je la connais.
le jour où on efface un “jamais” est un grand jour. le jour où on efface au moins trois “jamais” pour mettre à la place des premières fois est triplement grand.
hier je suis sorti avec Grand-Mère, au restaurant du coin de notre rue, pour manger un couscous.

le couscous est une spécialité culinaire d’Afrique du Nord, préparée avec de la semoule de blé dur. le patron du restaurant l’a apporté cérémonieusement à table en quatre parties. il y a :
1)le couscous,
2)le bouillon et les légumes,
3)la viande,
4)une sauce relevée.
le mode d’emploi est le suivant: on forme une petite colline avec la semoule du couscous dans son assiette creuse, sur laquelle on dispose les legumes formant un paysage de carottes, de navets, de poireaux et de minuscules pierres qui sont des pois chiches. on se sert la viande aussi et on mouille le tout avec le bouillon. si on a du courage, on peut metre de la harisa, rouge de piments, qui brûle de la chaleur des pays où vit le soleil.

Grand-mère avait peur de se lancer, mais elle a pris le rythme. chaque bouchée est une surprise. et ça fait plaisir de sentir ces parfums lointains et d’être pénétré par ces gouts chaleureux en plein hiver. Le plaisir donne de l’énergie et du courage. on voit les effets sur Grand-mère qui, habituellement silencieuse, se mit à parles. elle parla des guerres et des morts, de la peine et de la perte, mais il vaut quand même mieux faire vivre les morts que les laisser mourrir tous les jours un peu plus. chaque fois que l’on en dit un mot de souvenir, on les fait vivre ne serait-ce que d’une larme.
et même nous, les vrais vivants, des malvivants, le couscous, ça a l’air bête, mais le couscous m’a donné le soupçon que l’on peut toujours apprendre à vivre, mais il faut un bon maître et beaucoup de force, et d’apprendre non seulement des techniques qui aident comme lire et écrire, mais d’apprendre à vivre, parce qu’après on est mort et c’est trop tard.
Grand-mère a eu du mal a payer. elle a trouvé ce repas cher et on dirait que les sous ça fait partie de sa peau et de ses tripes. elle a relu l’addition cinq fois avec ses petites lunettes en demie-lune. Elle m’a demandé de vérifier.
en rentrant à la maison, nous sommes passés par le jardín. on aurait dit que Grand-Mère l’avait connu dans une autre vie. certes, elle l’a connu parce qu’elle a toujours habité là. elle est allée directement sur un banc comme si elle en était la propriétaire. nous nous sommes assis sans parler, selon notre habitude. mais la parole nous entourait comme une douce promesse en souvenir de ce repas exceptionnel partagé, un moment relevé dans une vie fade. au retour, passant devant le restaurant chinois de l’autre côté de notre rue, j’ai dit à Grand-Mère “ce sera pour un autre dimanche.” et Grand-Mère a répondu: “chaque chose en son temps”.

[dover: better day. I was dead for 7 weeks in the city of angels.]

jueves, 17 de abril de 2008

compromisos


no sé ni cómo ni cuándo me compraré el billete. pero volveré para ver a bruce y cruzar a aquello como tiene que ser: en coche, con buenos amigos, disputas sobre la música, bucles y colapsos colectivos y particulares.
(para abrir boca)
disfruten de alemania, yo trataré de sobrevivir a la segunda jornada de 12horas. la semana que viene, retomamos, y no valen excusas, twin peaks, por enésima.

qué bueno empezar algo sin saber qué es exactamente sólo que es (muy) bueno, sea lo que sea. acabe como acabe. lo haga cuando lo haga. gustazo.

[lori meyers: luces de neón]

sábado, 12 de abril de 2008

justicia poética



todos los homenajes del mundo se quedan cortos para loar a esta fabulosa creadora.


"she is the grand mother!!!"

desde aquí propongo que, cuanto menos sea reconocida oficialmente como LA creadora oficial del régimen. caudillo: actúe con su diligencia característca.

he aquí parte de su obra
"te quiero mucho pero ahora no. y me da igual. mañana sí!!cocote=puta. madame clo-clo.yo no reniego de mis valores.llora mañana como una perra, mi amor!!!!"

[manic street preachers: if you tolerate this your children will be next.]

http://www.manicstreetpreachers.com/07/index


domingo, 6 de abril de 2008

córdoba infinita


el azar, dicen, determina nuestras vidas: puede que una chica nunca llegue a se actriz porque quien le hace el casting, recibe un sms en ese preciso momento y olvide poner EL asterisco. por el contrario, si lo pone, esa chica podrá hacer el anuncio, de ahí saldrán nuevos proyectos, series, películas y quién sabe si el triunfo en jolivú.

del mismo modo puedes pasarte todo el día sin intercambiar una palabra con tu compañera de viaje y, casi en atocha de vuelta, intervenir en una conversación intrascendente, descubrir que es interesante, que tenéis (pocos)puntos comunes, intercambiar coordenadas, etc...
o podéis pasar de largo.

córdoba en un día imposible pero magnifica, como siempre,: sol, arquitectura, gentes, olores, calles, parques, las risas, las charlas, las cañas. LA organización y los chinos que nos esperaban en el bucólico entorno del río. habrá que volver otra vez.

NONNO ayer geniales, mejor que nunca.

from tres cantos
[vetusta morla: un día en el mundo.]

NONNO en concierto


Estuvieron geniales, mejor que nunca.
http://www.myspace.com/nonnomusic